La hausse des prix des appartements anciens est renforcée. Rien n’annonce un ralentissement de cette augmentation, avec + 3,9% sur 3 mois pour les prix affichés. Parce que cette augmentation reste alimentée par le retour des revendeurs candidats à une prise de contrôle. Et il concerne désormais 73% des villes avec plus de 100 000 habitants: au cours des 3 derniers mois, les prix ont augmenté à Lyon (+ 5,2%), Marseille (+ 4,3%) et Paris (+ 1,3%).

Évolution des prix en France

Pas de vacances d’été pour les anciens prix

Le rythme de la hausse des prix des anciens logements s’accélère. De plus, en juin, l’augmentation des prix des maisons et des appartements a été trouvée dans 61% des villes avec plus de 40 000 habitants (+ 6,0% en moyenne, sur un an): il y a un an, ces prix ont chuté dans 80% des villes (à partir de 7,5% en moyenne).

Et rien dans les offres faites sur le marché n’annonce un ralentissement de cette augmentation: avec + 3,9% sur 3 mois pour les prix affichés (+ 3,3% pour les appartements et + 4,7% pour les maisons). Parce que malgré les exigences de contribution personnelle imposées par la banque de France qui ne pénalisent que l’adhésion primaire, l’augmentation des prix reste alimentée par le retour des revendeurs candidats à un rachat. Le marché de revente qui a résisté à la crise bénéficie désormais du retour des ménages aisés, jusque-là contrecarré par les difficultés de valoriser leurs produits sur le marché. Une telle situation commence à ressembler à celle qui a toujours prévalu au printemps 2020.

Ainsi, la hausse des prix observée au cours du 2e trimestre témoigne d’une certaine vivacité du marché: avec des augmentations de 2,9% pour les appartements et 2,5% pour les maisons. De plus en juin 2025, les prix mesurés dans un niveau annuel coulissant ont augmenté de 1,5% sur un an, sur l’ensemble du marché: il y a un an, en même temps, les prix ont baissé de 4,3%. L’augmentation reste la plus rapide sur le marché de la Chambre pour laquelle la demande exprime clairement sa préférence: + 2,0% sur un an, contre + 1,1% pour les appartements. Les prix retrouvent donc maintenant leur niveau à l’automne 2023.

Le projet de les abaisser en rationnant le crédit afin de revitaliser le marché sera long: l’activité a beaucoup baissé, mais les prix n’ont trébuché.

Un nouveau marché de logements en demi-au-dents

Depuis le 1er avril, les candidats à l’achat de nouveaux logements ont bénéficié de l’extension de la PTZ sur tout le territoire et de l’amélioration de ses principaux paramètres. D’un autre côté, les taux de crédits immobiliers ont été stabilisés pendant plusieurs mois et si l’offre de crédits bancaires reste attentive à la demande d’accès au premier temps à la propriété, le niveau des contributions personnelles requis est en outre. Alors que les candidats à un investissement locatif privé sont rares, depuis la suppression du système Pinel.

Sur un marché de demi-teint, les nouveaux prix du logement enregistrent des développements assez différents, entre le marché de la maison et celui des appartements.

Sur le marché des maisons individuelles, la demande bénéficie pleinement du renforcement de l’offre de fabricants (à la fois en termes de niveau et de diversité des produits offerts) et les ventes augmentent très rapidement. L’augmentation des prix des logements reste soutenue, renforçant d’un mois à l’autre: au cours des trois derniers mois, les prix ont donc augmenté de 2,6%. Et sur un an, un niveau annuel coulissant, les prix augmentent désormais de 0,6%.

D’un autre côté sur le marché des nouveaux appartements, les prix se retirent toujours: plus d’un an, la baisse se poursuit à un rythme soutenu avec 1,0%, en changement annuel (- 2,5% en juin 2024). Et les développements récents ne vous permettent pas encore d’apercevoir cette courbe de prix, malgré un frisson habituel au début de l’été: avec + 0,8% sur trois mois.

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Évolution des prix dans les détails des villes

Paris à 11 000 € par m2

La hausse des prix des anciens appartements est encore renforcée et elle est généralisée partout sur le territoire, même en Ile de France. Il concerne désormais 73% des villes avec plus de 100 000 habitants. Et au cours des 3 derniers mois, les prix ont même confirmé leur augmentation de Lyon (+ 5,2%), Marseille (+ 4,3%) et Paris (+ 1,3%)!

Plus d’un an, les prix ont augmenté de 1,6% en moyenne, dans les villes de plus de 100 000 habitants: il y a un an, en même temps, les prix ont chuté dans 95% des grandes villes, 5,1% en moyenne.

La hausse des prix s’accélère dans plusieurs grandes villes: clairement dans Angers, Caen et Metz; Plus modérément dans Aix-en-Provence, Montpellier et Tours. Mais après plusieurs mois de progression rapide, il commence à ralentir (sans annoncer une baisse) à Annecy, Brest, Dijon, Limoges et Toulon. Le ralentissement de l’augmentation est même clair à Besançon, Grenoble et Marseille; Même dans Le Havre, agréable et perpicanal.

D’un autre côté, certaines grandes villes ne semblent guère préoccupées par l’ascension (ou même l’inversion de la courbe) des prix des anciens appartements. Le mouvement de diminution est ainsi renforcé chez Amiens et Saint-Etienne: et plus timidement dans Nantes et Rennes.

«Au sud-est de l’Ille et Vilaine, les acheteurs sont de retour, et de plus en plus pour le soi-disant confort du confort et plus nécessairement par obligation.» »
Peter Gibaud, conseiller immobilier à Rennes

Prix ​​des métropoles

Diffusion de l’augmentation des prix des maisons dans les métropoles

La hausse des prix des logements est généralisée et se trouve dans 66% des grandes métropoles. Les augmentations sont de plus en plus rapides (au moins 4% sur un an) sur les métropoles de Brest, Grenoble et Rennes: et toujours soutenues (de l’ordre de 3% sur un an) sur celles de Nancy et Nice. Il est observé dans tous ces espaces métropolitains où la pression de la demande est forte et se heurte aux difficultés d’extension du parc de logements, en particulier dans un environnement de vie plus sûr et plus conforme à ses attentes. De plus, cette augmentation s’accompagne d’une augmentation de prix plus rapide au centre que dans la périphérie. Mais dans certaines métropoles, les prix des maisons se retirent toujours: et parfois rapidement comme à Lyon, Montpellier et Nantes.

Et dans la plupart des métropoles, la préférence pour la périphérie est renforcée sur le marché des appartements: le prix du centre du centre par rapport à la périphérie augmente. Il augmente même très clairement sur Brest, Grenoble et Marseille (ou même sur Montpellier et Rennes): malgré un déséquilibre quantitatif important sur ces marchés, la demande cherche à s’éloigner du centre-ville (pour un espace de vie considéré comme plus sereine, moins anxieux), lorsque ses capacités budgétaires le permettent.

Néanmoins, cette préférence pour la périphérie n’est toujours pas trouvée sur les métropoles de Bordeaux, Lyon ou Paris.

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À propos du baromètre LPI – IAD

L’association “Les Prix Immobiliers” a été créée le 22 décembre 2009 pour développer un observatoire de ventes de logements anciens et nouveaux fournissant aux différents acteurs un outil de connaissance spécifique des marchés.

Les membres actuels sont:

BNP Paribas Residentiel CHH, Credit Housing, Crédit Mutuel, BPCE Group, IAD, La Banque Postale et Sogeprom

Explorez le baromètre des prix de la propriété en France



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